Fantomatiques Matadores
24 March 2014
L’intime, donc ? En ce qui touche au plus près le corps : le linge d’en dessous ? Certes. Mais l’intime surtout comme récit d’une histoire collective. Comme récit d’un certain usage des corps. L’intime, à vrai dire, comme espace d’affrontement pour celles qui, alors, sont interdites d’espace public.
Et c’est un affrontement, on l‘a compris, où il n’y a pas de demi-mesure. Ou on meurt ou on gagne.
Ou la matador, perçue comme instance inquiétante de désordre, meurt, défigurée par le vice. C’est la vertu séduite qui meurt d’avoir été déchue. Force restant à la loi des hommes qui norme l‘usage qu‘il est permis de faire du corps.

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